samedi 9 août 2008
Le bar : Toujours à la même place, toujours avec la même carte. Bouboul est toujours au bar, mais souvent côté client, une pression devant lui.
Le Bouboul : Il n’a pas changé. Enfin, comme nous, il a pris quelques années, mais en gros il est resté le même. Même façon de causer, même envie de pas l’énerver, même barbe. Bref, Bouboul comme on l’aime bien !
Le DJ : Là, c’est un nouveau. Avec du bon matos. Et le Grand Jojo a aménagé son plafond pour accueillir tout l’attirail nécessaire pour accrocher et alimenter en courant les baffles et autres lampes. C’est pro. La musique est comme à notre époque. Et son matos a résisté à deux brusque coupures de courant.
Les douches : Y’a un truc étrange, l’eau qui sort du tube est chaude ! Fichtre, le premier à la prendre se brûle même le cuir chevelu. En plus, très bonne idée, il y a une planche au dessus du tuyau pour déposer sa serviette et son savon. Par contre, il y a toujours autant de bestioles volantes autour des lampes et mortes un peu partout. Bof.
Le Grand Jojo (enfin…) : Fidèle à lui-même, c’est le grand patron. Il gère et on sent la routine et la maîtrise. Et il a fort apprécié notre t-shirt, donc, on l’aime toujours bien.
La flaque : Elle est toujours là. Mais quand on s’est mis à côté, elle ne nous a pas plus inspiré que ça.
La nouvelle véranda : L’espace extérieur avec ses petites chaises de bistro a disparu. Non pas dans une autre dimension, mais il a été avantageusement recouvert d’une véranda grand format. On a donc une très grand espace restaurant. C’est toujours meilleure gamme qu’un simple bistro.
La soirée : On a pas vu de grande différence, c’est comme si c’était la même chose, donc c’est très bien. Preuve qu’on a en fait pas vieilli (dans l’âme). Et c’est toujours Barsy c’est fini à la fin. Par contre, les jeune, à minuit c’était au lit… Nous on a tenu comme d’habitude jusqu’à trois heures du mat (bizarre, je me suis couché à 4h30 - il y a donc une heure dans perdue dans la quatrième dimension).
Le repas du soir : Un barbecue géré par le patron. Avec toutes les salades possibles. Franchement très chouette. Et toujours des MBJ pour desservir. Tiens, au fait, est-ce que ça s’appelle toujours comme ca ?
Le repas du matin : "Frugal" (dixit un écho), mais suffisant pour les jeunes zombies du matin. Pistolets, confiote et café/thé/chocolat chaud. Toujours pas de nutella, ouinnnn. L’année prochaine on prendra notre pot.
Le STAF : Hem. D’abords, on a pas tout de suite pigé qui était qui. Des fifilles qu’on prenait pour des -17 ans se sont avérées STAF de 22 ans. Mais en causant avec l’une d’entre elles, on s’est rendu compte qu’il y avait de l’humour derrière. Mais on a souvent eu l’impression de les impressionner. Haha. Bon, sur ce, Jojo, y’a pas une place pour nous dans le STAF ?
Les tentes : Bonnes (comme les stafettes), une fenêtre, bien accrochées au sol, lampe en option fournie, tapis de sol comme d’habitude. Se démonte assez vite, mais pas évident quand on ne connais pas le modèle. Espérons que le STAF à la pince a bien détaché le dernier colson restant comme il noue l’avait promis. Et que comme un autre STAF nous l’a dit, le démontage comme on l’a laissé « c’est bon, ok ».
Les WC : C’est les mêmes. On a pas vérifié s’ils avaient aussi l’eau chaude.
On n’a pas testé pour vous :
Les chantiers : C’étais pas le bon jour, mais on en a entendu des échos positifs. On ira donc voir ça un jour de plus près. Héhé…
La visite du samedi : Plus de place pour nous dans le car. Pas grave, on a fait notre propre visite après le pique-nique, et c’était très bien aussi.
Articles
